Des relations privilégiées avec des “Dieux” venus de l’espace.

      Ce continent, et plus particulièrement les régions andines et de l’actuelle « Amérique Centrale » ont entretenu avec les « dieux » des relations privilégiées. Raël a confirmé que les Elohim y avaient eu des bases (Pérou, Brésil, …).

 

    • Des dieux très humains

      Dieux-venus-du-ciel-gods-from-sky-dios-del-cieloLes restes architecturaux et autres qui nous sont parvenus, malgré la destruction systématique par les colonisateurs de textes et artefacts qu’ils trouvèrent, sans oublier les temples et pyramides dont celles de Mexico ; Tenochtitlan et Tlatelolco, motivés qu’ils étaient par la cupidité (fonte des objets en métaux précieux), ou par une volonté d’éradication des cultures locales, portent, malgré le nombre réduit qui nous est parvenu, suffisamment d’éléments illustratifs de « dieux » aux apparences et comportements très humains, de leurs technologies et machines, de leurs unions charnelles, de leur joie de fréquenter cette partie du monde particulièrement favorisée par le climat et la nature, et les peuples qu’ils semblaient chérir.

      Ce fut d’ailleurs cette ressemblance des « dieux » avec les hommes qui induisit un degré d’incertitude chez ces peuples quant à la vraie nature des Espagnols. C’est parce que leurs traditions faisaient état de dieux très humains que les « très humains » conquistadors leur ressemblèrent, du moins superficiellement mais suffisamment pour berner ces « naïfs sauvages ».

 

    • Des conquistadores aux allures de dieux

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      En quelque sorte les peuples indigènes se laissèrent conquérir car ils maintinrent un doute quant à la vraie nature des nouveaux arrivants. Certes, ceci relève d’une forme de spéculation, mais en l’occurrence nous pourrions difficilement ne pas y faire appel si on considère les prémisses ; d’une part, nous ne saurons jamais quel était l’état d’esprit, la religion réelle, la présence dans l’imaginaire des « dieux », car s’il est impossible de vraiment connaitre ces choses-là chez les peuples pour lesquels nous disposons de matériel historiographique conséquent – les Grecs par exemple -, imaginez ce qu’il en est chez ceux dont la mémoire a été en bonne partie effacée !

 

    • Tocqueville disait qu’après que ceux de sa génération se seront éteints, plus personnes ne saura ce qu’était l’esprit de l’Ancien Régime . Comment pourrions-nous alors savoir ce qu’était l’esprit des autochtones lorsqu’arrivèrent les Espagnols ?

 

    • D’autre part, même si par un miracle historiographique nous réussissions à sentir exactement ce que sentaient ces populations précolombiennes, il n’en resterait pas moins que la référence aux dieux serait cataloguée dans l’ordre du mythique, mythologique, mystique, symbolique, constructions de l’inconscient et autres catégories des sciences sociales, – qui rejettent par principe l’idée qu’une civilisation extraterrestre aurait visité la Terre et qu’en conséquence celle-ci fût à l’origine de ces récits en lieu et place de la seule imagination -, à l’instar des récits créationnistes qui ont tous été réduits à de pures créations de la psyché humaine.

      Pourtant, il se peut bien que la conquête ait été relativement facile, primordialement à cause de cette méprise.

      inca stones pierres inca piedras incaCe fait n’est d’ailleurs pas nécessaire à la mise en valeur des riches traditions qui toutes suggèrent que Viracocha, Quetzalcoatl, Kukulkan, et bien d’autres étaient (seraient) non pas des dieux aux pouvoirs surnaturels mais des êtres humains, venus d’une autre planète, avec des pouvoirs que la connaissance scientifique qui est la nôtre aujourd’hui peut enfin comprendre et ramener à l’ordre du rationnel.

      Et que dire de Teotihuacan, Tiahuanacu et autres villes, temples et pyramides construits avec une technicité qui dépasse parfois celle de ce début du troisième millénaire?

 

 

    • Viracocha, Quetzalcoatl, Kukulkan et la Genèse

      mexico-mural-ethnic-aztecLe message qui a été transmis à Rael par Yahvé, s’il s’inspire de la Genèse, aurait tout aussi bien pu se faire sur la base d’un autre récit, car il y en a de plus précis et sans doute y en avait-il sur ce continent.

      La tradition judéo-chrétienne-musulmane s’est imposée sur une grande partie de la planète, portant avec elle l’histoire d’Adam et Eve qui ainsi devint connue de tous, et c’est pourquoi il convenait que l’explication de notre création scientifique s’appuyât sur la plus accessible et familière des histoires.

      Toutefois, rien n’empêche qu’une illustration de cette création à la lumière des récits créationnistes propres aux cultures de ce continent ne vienne conforter le Message Raélien. Ces récits sont d’ailleurs dans la plupart des cas plus fidèles que les religions monothéistes en ce qui concerne leur description des Créateurs, ne fût-ce, en toute évidence, que le simple fait que leur pluralité est respectée, ainsi que leur humaine constitution, en forme ou en caractère, bien qu’il s’agît d’une humanité sublime et éblouissante, dont la noblesse les placerait encore bien au-dessus de nous, s’il advenait qu’ils revinssent pour nous montrer la voie.

      On comprend facilement que les populations encore attachées à leur culture précolombienne soient particulièrement réceptives à l’idée que le dieu chrétien à la barbe blanche n’est pas meilleur ou prioritaire sur les dieux qui étaient les leurs.

      Tous ces « dieux » faisaient partie d’une même équipe de Créateurs. Il est temps de révéler leur vraie identité!